"Les investigations permettent d'indiquer qu'il n'est pas le seul organisateur de cette free party", explique le Philippe Astruc, qui poursuit, en indiquant que "dans le contexte de crise sanitaire que nous connaissons, il paraît essentiel de poursuivre les investigations afin d'identifier et interpeller l'ensemble des organisateurs de ce rassemblement illégal ". Il a été interpellé avec 1,22 gramme de cocaïne et 6,13 grammes de kétamine, et 665 € qu'il présente comme étant ses " économies ".
Les investigations ont déjà permis d'interpeller le samedi 2 janvier un jeune homme de 22 ans sans antécédents judiciaires.
Une information judiciaire sera ouverte ce lundi, au lendemain d'un week-end très agité à Lieuron.
Les gendarmes ont tenté d'interdire l'accès au site "mais très rapidement des heurts violents" ont éclaté, explique le préfet Emmanuel Berthier, "manifestement les organisateurs s'étaient préparés à cette action violente vis-à-vis des forces de l'ordre".
Cet homme indique avoir été un simple participant, mais ses propos sont "contredits par les éléments de téléphonie avec l'envoi à plus de 1 000 personnes du lieu exact d'implantation de la rave-party le jeudi 31 décembre en fin d'après-midi." . D'abord, son portable a borné à Lieuron le 31 décembre en début d'après-midi, au moment où le matériel de la "free party" était installé. Deux des gardés à vue étaient soupçonnées de faire partie des organisateurs de la soirée. "Au-delà des risques habituels de ce type de manifestation donnant lieu à la consommation importante de produits stupéfiants et du trouble important à l'ordre public local, des risques sanitaires de grande ampleur sont générés, pouvant avoir des conséquences mortelles pour les personnes contaminées".
Les sept autres personnes placées en garde à vue à l'issue de la fête illégale ont été remises en liberté.
Après la rave party près de Rennes, deux suspects ont été interpellés par les gendarmes et placés en garde à vue. Trois consommateurs de stupéfiants feront l'objet des suites habituelles concernant l'usage de drogues. Du matériel est saisi et les gendarmes contrôlent systématiquement les participants qui quittent les lieux. "Aucune infraction ne peut en l'état être caractérisée après vérification, notamment en raison de l'absence de lien établi avec les organisateurs".
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