Au terme des deux tours d'horloge, le Clermontois et ses coéquipiers, Romain Dumas et Louis Delétraz ont dû se contenter de la quatrième place, au volant de leur Rebellion-Gibson n°3, à sept tours de la Toyota TS050 n°8, laquelle a apporté à la marque japonaise sa troisième victoire d'affilée dans la mythique épreuve mancelle.Nathanaël Berthon (Rebellion Racing) est passé tout près de la consécration avec un premier podium aux 24 Heures du Mans.
Sur une course de 24 heures, un tel écart est insignifiant, surtout si la pluie nivelle les écarts. Ils terminent devant la Rebellion composée de Norman Nato, Bruno Senna et Gustavo Menezes.
- La revanche de "Koba"? Il a cédé son baquet au Néo-Zélandais Brendon Hartley, vainqueur avec Porsche en 2017. C'est un interminable arrêt de la voiture-soeur, la #7, coincée au stand durant environ trente minutes pour un changement de turbo en milieu de nuit, qui lui a permis de s'installer aux avant-postes et de ne plus jamais les quitter. Celui-ci ne prend toutefois pas part à l'épreuve cette année.
"Les pilotes professionnels savent comment faire avec le trafic, mais lors de la séance d'essais libres nocturne, jeudi, c'était un peu le bordel", souligne Sébastien Buemi qui l'explique par le moindre nombre de courses disputées en raison de la pandémie. "Et en plus, cette année, on aura onze heures de conduite de nuit", rappelle le pilote suisse.
En LMP2, la course risque d'être plus disputée qu'en LMP1. C'est l'Aurus de Vergne/Rusinov/Jensen qui menait juste devant l'Oreca de Brundle/Owen/Van Uitert. Il ne faut pas non plus oublier l'Oreca du Team Nederland de Nyck De Vries, Giedo Van Der Garde et Frits Van Eerd ainsi que la Signatech Alpine de Thomas Laurent, André Negrão et Pierre Ragues.
Côté LMGTE Pro, c'est l'Aston Martin Vantage AMR #97 de l'Aston Martin Racing qui s'est imposée, grâce aux talents conjugués de Maxime Martin, d'Alex Lynn et d'Harry Tincknell, talonnée jusqu'aux derniers instants par la Ferrari 488 GTE EVO #51 de l'AF Corse -Alessandro Pier Guidi, James Calado, Daniel Serra-. La nouvelle catégorie Hypercar, qui doit faire son apparition en 2022, semble de nature à attirer d'autres grands constructeurs: outre Toyota, Peugeot a déjà annoncé son retour au Mans avec ces nouveaux bolides.
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