La rencontre historique entre Donald Trump et Kim Jong Un, l'enfant de 4 ans gravement blessé au Folgoët et la nomination de Thomas Voeckler au poste de sélectionneur de l'équipe de France de cyclisme: retrouvez les informations principales à la mi-journée.
Le président américain Donald Trump est arrivé ce dimanche 30 juin dans la Zone démilitarisée (DMZ) entre les deux Corées, juste avant une rencontre historique attendue avec le numéro un nord-coréen Kim Jong Un. "Kim n'a pas eu besoin de lever le petit doigt pour que Trump traverse la DMZ", relève-t-elle.
Moon Jae-in a par ailleurs déclaré qu'une poignée de mains entre Trump et Kim à la frontière coréenne constituerait un "événement marquant" dans le processus de dénucléarisation de la Corée.
La rencontre ne suffira probablement pas à régler le délicat dossier nucléaire nord-coréen.
Jamais un président américain en exercice n'avait foulé le sol de la Corée du Nord: les deux pays se sont affrontés lors du sanglant conflit de 1950-53, achevé par un armistice mais toujours pas par un traité de paix. De son côté, Kim Jong Un a espéré "surmonter les obstacles" grâce à ses liens "merveilleux" avec M. Trump. Accompagné par le président sud-coréen Moon Jae-in et des militaires américains, Donald Trump a gagné une plateforme depuis laquelle il est possible d'observer le territoire nord-coréen.
Après la poignée de main, les deux dirigeants se sont retirés dans un bâtiment de la zone de sécurité commune, située sur la DMZ, pour une discussion, qui a pris fin aux alentours de 9h50 selon les journalistes présents sur place. Au total, le résultat peut sembler plus consistant que ne pouvait le laisser craindre une invitation lancée au dernier moment samedi sur Twitter par un Donald Trump qui disait seulement vouloir rencontrer le dirigeant nord-coréen "pour lui serrer la main et lui dire bonjour".
Un petit pas pour Donald Trump, un grand pas pour l'histoire.
Le rapprochement entre les deux pays semblait ces derniers mois dans l'ornière depuis l'échec du deuxième sommet Trump-Kim, au Vietnam, en février dernier. "Je serais très à l'aise de le faire, cela ne me poserait aucun problème ", affirmait Donald Trump lui-même samedi. Aucun président américain avant lui n'a rencontré le plus haut dirigeant du Nord à la frontière héritée de la guerre froide. "Mais maintenant? Une rencontre pour les caméras et sans ordre de jour ne fera rien pour effacer un an d'illusions et de déceptions", a-t-il estimé sur Twitter.
À l'exception de George Bush père, tous les présidents américains ont effectué une visite chargée de symboles sur la DMZ.
C'est d'ailleurs le village emblématique de Panmunjom, où fut signée la trêve, qui a été choisi pour cette troisième rencontre Trump-Kim. Donald Trump aurait dû sacrifier à la tradition lors d'une première visite en Corée du Sud en 2017, mais le brouillard avait empêché son hélicoptère d'atterrir.
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